Kai Trump et Elon Musk, sur la base de Boca Chica, au Texas, le 20 novembre 2024 (capture d'écran)
EXCLUSIF Elle n'a que 17 ans... La nouvelle maîtresse d’Étron Musk est aussi... la petite fille de Donald Trump ! Pédophile, mais aussi raciste, antisémite, et néo-fasciste, le milliardaire patron de X, SpaceX et Starlink entend étendre l'emprise de sa perversion narcissique à la planète tout entière, avant de conquérir Mars.
Le pouvoir, ils n’en ont jamais assez, les hommes de pouvoir. Pareil pour l’argent. A quoi peut bien rêver "l’homme le plus riche du monde", si ce n’est être encore plus riche que « l’homme le plus riche du monde », et se donner encore plus de pouvoir qu’il n’en a déjà.
Étron Musk n’est pas stupide. Il a compris que pour élargir son sceptre et boursoufler sa cagnotte, il fallait miser sur le bon cheval, quitte à truquer la course pour être certain de gagner le pari qui permettra in fine de pouvoir compter sur un juteux retour sur investissement. Ça, c’est pour le pognon. Mais le pouvoir ? L’empereur Donald, qu’il a contribué à porter au pinacle, passe pour être un canasson quelque peu fantasque. Le meilleur moyen de s’attirer ses bonnes grâces, c’est de faire partie de l’écurie, à savoir la famille.
Kai Trump et Elon Musk, sur le terrain de golf de Mar-a-logo, en novembre dernier, puis sur le stand de tir de Boca Chica, le 20 novembre
Les fréquents et longs séjours d’Etron Musk à Mar-a-logo, la somptueuse résidence privée de Trump en Californie, ont une raison majeure. Cette raison majeure s’appelle Kai (qui n’est pas encore majeure). Kai, c’est la petite fille de Donald, elle n’a que 17 ans (18 ans le 12 mai prochain) ; « Elon est désormais un oncle », a posté la jeune fille le 10 novembre 2024 sur son compte X, après une partie de golf.
Un mois plus tard, le 17 décembre 2024, toujours sur X, elle publie un message subliminal dédié à @elonmusk : « je ne sais pas vraiment où j’en suis » ("I’m still confused"). Un peu plus tôt, dans une vidéo qu’elle a elle-même postée sur YouTube le 26 novembre (https://youtu.be/ytrtFsXRXGY?feature=shared) , on la voit littéralement dévorer des yeux « oncle Elon », qu’elle ne lâche pas d’une semelle. C’était quelques jours plus tôt, le 20 novembre, au Texas, lors du tir (foireux) de la méga fusée Starship. La base de SpaceX dans le Texas s’appelle "Boca Chica" (littéralement "Bouche Fille"), ça ne s’invente pas.
Se faire une donzelle de 17 ans, ce n’est pas bien, surtout quand on a la quarantaine ("pédophilie", ça s’appelle), mais Étron Musk a des circonstances atténuantes. Primo, la petite-fille de Donald Trump, Kai, est plutôt mignonne, dans le genre. Secundo, Étron Musk a la trique plutôt facile, rapport aux doses de kétamine qu’il s’enfile (il ne s’en cache pas). De toute façon, avec ou sans kétamine, Etron Musk est un homme à femmes, qui se lasse assez vite de ses épousées.
Marié une première fois, en 2000, à la romancière canadienne Jennifer Justine Wilson, avec qui il a eu 6 enfants (dont un dénommé "Kai", décidément !), il en a divorcé en 2008 pour convoler en 2010 avec l’actrice britannique Talulah Riley : re-divorce deux ans plus tard (mais re-mariage en 2013 et re-divorce en 2016). Il jette ensuite son dévolu sur l'actrice américaine Amber Heard ; le divorce a été prononcé quatre mois après l’officialisation de leur relation, en avril 2017 : Amber Head n’était pas assez fan des plans-cul à trois (avec l'actrice et mannequin britannique Cara Delevingne) que lui imposait Étron Musk.
Un an plus tard, le déjà milliardaire se maque avec la chanteuse canadienne Claire Elise Boucher, plus connue sous le nom de Grimes, extra-terrestre avec qui il aura trois enfants prénommés X Æ A-XII, Exa Dark et Techno Mechanicus. Une fois épuisé le rôle de poule à pondre de la pauvre Grimes, Etron Musk se marie avec l'actrice, scénariste et réalisatrice australienne Natasha Bassett, vingt ans plus jeune que lui. Mais ça ne dure que quelques mois, entre fin 2021 et juillet 2022. Pendant ce temps, Etron Musk quéquette presque à tout va, notamment avec l'avocate et candidate à la vice-présidence américaine Nicole Shanahan, épouse de Sergey Brin, cofondateur de Google. Des « aventures », il en a eu bien d’autres : en 2016, pour faire taire une hôtesse de l’air qui l’accusait de harcèlement sexuel, il lui a fait un chèque de 250.000 dollars.
Officiellement, Etron Musk est actuellement en couple avec une "capital-risqueuse" canadienne, Shivon Alice Zilis, directrice des opérations et des projets spéciaux chez Neuralink (start-up en neurotechnologie et transhumanisme, cofondée en 2016 par Elon Musk pour la recherche et développement d'implants cérébraux d'interfaces directes neuronales). Ils auraient déjà eu ensemble trois enfants, tous issus de « mères porteuses ». Car, ce n’est un secret pour personne, Shivon Alice Zilis ne fait plus bander Etron Musk. Mais Kai Trump, oui. Il faudra sans doute le 12 mai 2025, quand la donzelle atteindra sa majorité, pour que leur relation soit officialisée.
D’ici là, en (très) privé, Étron Musk l’appelle "Princesse". Beaucoup d’adolescentes, même petites-filles de Donald Trump, rêvent de rencontrer le Prince charmant, fut-il autiste Asperger et pervers narcissique. (beaucoup d’autistes Asperger sont plus souffrants que prédateurs sentimentaux : lorsqu’au collège, Étron Musk balance dans l’escalier un "camarade" qui pleure parce que son père s’est suicidé -raconté par le père d’Étron Musk dans Envoyé spécial-, ce n’est pas un geste d’autiste Asperger mais de pervers narcissique, tendance tortionnaire néo-nazi).
Tweet reposté par Elon Musk.
Le nazisme ? Un système "qui fonctionnait"
Assez parlé de cul. Parlons un peu politique.
Même Emmanuel Macron, ce 6 janvier s’en est ému, devant la conférence des ambassadrices et des ambassadeurs : « Voilà dix ans, si on nous avait dit que le propriétaire d’un des plus grands réseaux sociaux du monde soutiendrait une nouvelle internationale réactionnaire et interviendrait directement dans les élections, y compris en Allemagne, qui l’aurait imaginé ? » Bon. Emmanuel M. n’a pas cité le nom d’Étron Musk, et surtout, internationale « réactionnaire », c’est plutôt gentil pour qualifier une officine néo-fasciste.
Donc, le pédophile fasciste Étron Musk souque ferme pour amener au pouvoir, en Allemagne les zozos de l’AfD, nostalgiques d’un nazisme qui avait instauré « un système qui fonctionnait » (voir ICI). En Grande-Bretagne, comme déjà dit, il a pris la défense de Tommy Robinson, condamné par la justice à 18 mois de prison ferme pour incitation à la haine raciale (18 mois, car c’est un récidiviste). Même Niel Farage, le président du parti d'extrême droite Reform UK, a trouvé que là, Musk poussait le bouchon un peu loin. La réaction du boyfriend de Trump n’a pas tardé : il exige que Reform UK change de leader. Non mais…
Il y a plus grave encore : voici peu, Etron Musk partageait, avec le simple commentaire "True" (Vrai), un tweet d’un certain Mario Nawfal qui accuse le Parti travailliste de couvrir un « scandale de pédophilie ». Évoquant « des milliers de jeunes filles abusées », ce Mario Newfal écrit (à propos des travaillistes) : « S'ils n'ont rien à cacher, pourquoi sont-ils si terrifiés par la vérité ? ». Exactement du même niveau que ce que tente de répandre la propagande russe (au plus haut niveau) qui affirme depuis 2014 que l’Ukraine organise un trafic d’enfants (pour esclavage sexuel, et aussi pour dons d’organes) notamment avec des politiciens britanniques.
Au fait, c’est qui ce Mario Nawfal qu’Étron Musk relaie sans modération (au contraire) ? C’est un jeune golden boy cocaïnomane de 30 ans, qui a fait fortune dans les cryptomonnaies, en escroquant au passage un certain nombre de personnes, et qui organise aujourd’hui des visio-conférences depuis Dubaï où il s’est réfugié pour échapper à des poursuites judiciaires, australiennes, américaines et anglaises. Sur l’un de ses sites internet, The Round Table Show, https://www.roundtable.live/ , il se vante de fréquenter toute la fachosphère planétaire, de Bolsonaro père et fils au conspirationniste américain Alex Jones, en passant par… plein d’autres.
Via Mario Nawfal, dont il diffuse les tweets, Étron Musk s'est trouvé une nouvelle tête de turc : George Soros. Pas turc, mais d'origine hongroise, et surtout juif : inutile de le préciser, dans la galaxie MAGA (Make America Great Again), tout le monde comprend. Et pas seulement en Amérique : George Soros, avec sa fondation Open Society, est l'une des principales cibles-lubies de M. Jean-Luc Mélenchon. George Soros qui est, comme chacun sait (enfin, Étron Musk, oui), le principal organisateur de la "crise migratoire" qui a "submergé" l'Europe...
Kevin Roberts, patron de The Heritage Foundation. Photo DR
Ainsi va l'univers rouge-brun. Dans cette galaxie, il faut encore reparler de Kevin Roberts, « l’idéologue qui veut chambouler l’Amérique », comme l’écrit Les Echos. Kevin Roberts, c’est le patron de The Heritage Foundation. qui a pondu le "Projet 2025", le programme que Trump va mettre en œuvre. Ce Kevin Roberts, qui est un sous-marin de l’Opus Dei (lire ici : https://bit.ly/4gOhFWD) a attendu l’élection de Trump pour publier la suite du programme. Le livre, intitulé Dawn's Early Light : Taking Back Washington to Save America ("La lumière de l'aube : Reprendre Washington pour sauver l'Amérique"), est préfacé par le vice-président américain, J.D. Vance, qui écrit notamment qu'il est « temps d'encercler les chariots et de charger les mousquets ». Pas sûr de tout comprendre : comme au temps du far-west ? Enfin si, sûr de tout comprendre : le "Projet 2025", c'était juste un hors d'oeuvre. Désormais, « Nous devons être suffisamment courageux pour partir à l'offensive, craquer l'allumette et commencer un long feu contrôlé ». Au moins, comme disait Goebbels, c'est clair...
Jean-Marc Adolphe
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Jusqu'où ira l'écoeurement... Nous sommes arrivés dans un monde sans limite humaine de moralité, respect, un monde de requins mafieux et hors-la-loi!!!