top of page
Photo du rédacteurLa rédaction

Le premier festival des humanités, du 31 août au 3 septembre

Dernière mise à jour : 21 juin



A Cenne-Monestiés, dans l'Aude, du 31 aout au 3 septembre, les humanités proposent leur tout premier festival. Avec les moyens du bord et des artistes en présence, cela s’invente. Un chemin hors des chemins, un espace à espaces (Henri Michaux), et d’autres choses qu’on ne sait pas encore. Avec du singulier et du collectif, des sons et des gestes, des images et des mots, du jazz sous les étoiles mais aussi un parlement des matins, un chantier d’utopies et des rencontres pour changer les mondes




Jeudi 31 août


9 h 30 - midi. Au Communal. Parlement des matins


18 h. A l'Usine. Le pastel, mythes et réalités. Conférence illustrée avec David Santandreu

Que sait-on du « pastel des teinturiers », alias isatis tinctoria, cette petite plante dont on tire l’indigo, qui a fait la fortune et la réputation du pays de Cocagne, avant d’être détrônée par des procédés industriels ?

David Santandreu, devenu maître teinturier dans le prolongement d’une longue expérience en production agro-biologique, est spécialisé dans l’indigo naturel. Une pratique qu’il a cultivée en explorant de nombreuses archives, dont celles des manufactures royales.

Un fabuleux voyage végétal et artisanal.

Photo Justin Bonnet


19 h 30. A L’Usine. « Mireille Delmas-Marty, au pays des nuages ordonnés ».

Documentaire de François Stuck.

Juriste, professeure au Collège de France et membre de l'Académie des sciences morales et politiques, est décédée en 2022. Elle laisse une œuvre considérable, pétrid d’humanisme, où elle a cherché notamment à fonder une « communauté de valeurs » qui puisse faire naître un « droit mondial ». Bien avant que s’impose l’urgence climatique, elle a défendu le concept de « souveraineté solidaire » des États consistant à ne pas se limiter à la défense de leurs intérêts nationaux (« souveraineté solitaire ») mais à se préoccuper aussi des biens communs au-delà de leurs frontières.

Sa dernière œuvre : une « boussole des possibles », conçue avec le sculpteur Antonio Benincà.


Passé de la télévision (il y a fait ses armes au début des années 1980 avec Pierre Bellemare) au documentaire (Bienvenue les vers de terre, Êtres en transition, etc.) et aux projets associatifs, François Stuck a réalisé, peu avant la disparition de Mireille Delmas-Marty, un entretien exceptionnel, enrichie de plusieurs témoignages.


- Projection (48’) suivie d’une rencontre-débat avec François Stuck et Isabelle Favre, des humanités.


A lire sur les humanités :


22 h. Au Communal (projection en plein air). Trésors de jazz, première partie

Sans Jo Milgram, d’incroyables pépites auraient sans doute disparu. Passionné de jazz depuis le début des années 1930, devenu ami de Django Reinhart et de beaucoup d’autres, il entreprend au début des années 1970, avec l’aide de Daniel Filipacchi, d’acheter des films qui allaient tomber dans l’oubli (souvent des copies uniques) et de constituer une incroyable collection, aujourd’hui conservée au Centre national de la danse.

Une véritable leçon de joie de vivre dans l’Amérique des années vingt à soixante, où la condition des Noirs est transcendée en un jaillissement jubilatoire. Presque plus que la musique, c’est une certaine idée de la danse qui est donnée à voir : les tap dancers remplacent la batterie et improvisent, privilégiant le swing, le feeling, la chaleur des rythmes et des corps.


Première partie (72’) : La Revue des revues (1927) de Joe Francis, avec Joséphine Baker ; Black and Tan Fantasy (1929) de Dudley Murphy, avec Duke Ellington et Fredi Washington ; Calling All Stars (1937) de Herbert Smith, avec Buck and Bubbles et Les Nicholas Brothers ; Count Basie and His Sextet (1951), de Will Cowan, avec Billie Holiday, “Sugar Chile” Robinson, etc.

(en collaboration avec le Centre national de la danse CND et Josette Milgram)


Vendredi 1er septembre


9 h 30 – midi. Au Communal. Parlement des matins.


Dans l’après-midi : impromptus, lectures, ateliers…


17 h. Au départ de L’Usine. Mondes rêvés. Exposition sauvage

Collage collectif d’une exposition de 61 portraits réalisés par des élèves de 4ème du collège Jean Jaurès à Albi

Restitution d’un projet pédagogique en milieu scolaire. Suite à une intervention au collège Jean Jaurès à Albi, de l’artiste photographe Émeric Lhuisset, artiste chercheur et diplômé de géopolitique, les élèves ont été invités à poser une question à un proche : « Quel est votre monde rêvé ? ». Ils et elles ont ainsi réalisé 61 portraits légendés, qui seront « exposés » (façon dazibao) à Cenne-Monestiés pour la première fois en dehors de leur collège, avant prochaine publication à venir.


Projet porté par le collège Jean Jaurès, soutenu par le centre d’art Le Lait et le dispositif Pass Culture, accompagné par Julie Chaumette, artiste plasticienne et assistante d’éducation au Collège Jean Jaurès.


19 h. Lieu à définir. « Les oiseaux chantent sans qu’on les paie », de et avec Pascale Paugam

Pour elle, « la liberté c’est de s’asseoir sur un banc et d’écouter les oiseaux chanter. » Dès lors, elle quitte donc son emploi de domestique, fait ses paquets et part. Son périple en solitaire, émaillé de rencontres, de difficultés ordinaires, de coups de joie dans le cœur nous offre un hymne à la liberté, poétique et parodique. Derrière son allure de clown, elle pose des questions de philosophe, des questions d’enfant, des questions « logiques ».


Pascale Paugam est comédienne et metteure en scène, membre du collectif qui anime le Théâtre Artphonème, tiers-lieu à Bourg-en-Bresse.


21 h. Au Communal. « Choubaï, parler à nouveau », documentaire de Mykhaïlo Kroupievskyï

« Figure phare de la ‘génération condamnée’ en Ukraine, Grugoriy Choubaï est une étoile fugace qui a éclairé l’horizon sombre de son époque. Agé d’à peine 20 ans, Choubaï arrive à Lviv à la fin des années 60. Sa poésie inspire la jeunesse et inquiète les bourgeois de la région. Il est fréquemment invité à lire ses œuvres dans les soirées, puis le couple de poètes-dissidents, Ighor et Iryna Kalynets le prennent sous leur aile. Avec ses amis, il lance alors la première autoédition du magazine littéraire et artistique ‘Skryniya’ (‘coffre’) dans lequel paraît son poème ‘Vértép’. En janvier 1972, le KGB commence une opération spéciale à l’encontre du journal. Choubaï, le couple Kalynets ainsi que d’autres représentants de l’intelligentsia ukrainienne sont arrêtés et condamnés à neuf ans d’emprisonnement. Il sera finalement relâché, mais sa vie se transforme en cauchemar. ».

En Ukraine sous domination soviétique, la poésie de Choubaï fut interdite avant même qu’elle ne rencontre son public. Réalisé par Mykhaïlo Kroupievskyï, le film documentaire « Choubaï, parler à nouveau » plonge dans cette période dramatique. Le réalisateur réunit celles et ceux qui ont côtoyé Choubaï pour qu’ils le racontent. Entre documentaire, fiction et pièce de théâtre, le film est composé de traces qui ont appartenu à l’artiste (icônes, livres, photos, peintures). L’acteur Serghiï Ghadan incarne à l’écran le poète avec un incontestable magnétisme.


Projection suivie d’une rencontre avec Kseniya Kravtova, artiste ukrainienne installée en France, qui s’emploie à traduire et faire connaître la poésie de Choubaï.


A lire sur les humanités :


Samedi 2 septembre

9 h 30 – midi (avec prolongation dans l’après-midi). Au Communal. Parlement des matins.

Faire agora avec le réseau Autreparts – Artfactories : Maîtrises d’usage, arts de faire (ou de défaire), communs et interdépendances


11 h. La Caravane des alternatives. Projection (23 ‘)

La Caravane des Alternatives a relié Ziguinchor (Sénégal) à Genève (Suisse) avec 18 étapes et cinq pays traversés croisant dans son périple de multiples formes de résistances, une permacultrice, un agroforestier, deux centres d'accueil de migrants et de SDF. Autant de lieux et de personnes témoignant concrètement de la transition en cours.


17 h. Lieu à définir. Marja Nykänen. La musique des plantes

Née à Helsinki (Finlande), formée à l’École nationale supérieure de la marionnette de Charleville-Mézières, Marja Nykänen est co-fondatrice du Théâtre d'Illusia. Elle est également directrice artistique du festival Imaginieul, en Haute-Vienne. Equipée d’un micro Bamboo que lui a conçu le « musiniériste » Jean Thoby, auteur du Chant secret des plantes, Marja Nykänen proposera un atelier pour participer à la constitution d’un herbier sonore. Et en compagnie de danseuses-chorégraphes présentes au festival des humanités, elle invitera à se mettre au diapason d’un « Théâtre des fleurs », sa prochaine création.


18 h. Lieu à définir. Carte blanche à Jacques Bonnaffé.

Au cinéma comme au théâtre, Jacques Bonnaffé a su cultiver une relation sensible aux auteurs. Inlassable VRPoL (Voyageur Représentant de Poésie ou Lectures), Il étend sa pratique artistique à des domaines variés, lectures ou concerts parlés, mise en scène, enregistrements mémorables, performances ou banquets littéraires, accordant à la poésie vivante, qu’elle soit dialectale ou savante, une part privilégiée.


A Cenne-Monestiés, pour le festival des humanités, il s’improvise en facteur-colporteur de mots, autour d’un texte du poète luxembourgeois, Jean Portante, Frontalier. Un dispositif inédit, complété par une « carte blanche » où… tous les mots seront permis.




20 h 30. Lieu à définir. Jacques Livchine et Hervée de Lafond / Les folles heures du Théâtre de l’Unité

Ils sont à la fois les grands enfants et les grands parents terribles du théâtre de rue en France. Trois mots pourraient résumer la démarche du Théâtre de l’Unité : engagement, culot et générosité. Née en 1968, biberonnée à la révolution et aux idéaux du théâtre populaire, la troupe menée par Jacques Livchine et Hervée de Lafond a monté plus de soixante spectacles dont certains ont marqué l’histoire du théâtre de rue : La 2CV Théâtre, La Guillotine, le Théâtre pour chiens, Oncle Vania à la campagne… Mais Hervée de Lafond, Jacques Livchine et leurs complices pourraient revendiquer la création permanente comme d’autres la révolution permanente. Tout est prétexte à improviser, à inventer, d’un anniversaire à un enterrement, d’un atelier à une manif, de la salle à la rue. « Le Théâtre de l’Unité, c’est toujours autre chose » est leur slogan. Toujours autre chose, mais quelques constantes que ce parcours s’efforce de livrer : le théâtre populaire et politique, les voyages et l’ancrage, l’audace et la fête. (Photo Philippe Briqueleur)

Jacques Livchine et Hervée de Lafond offrent à Cenne-Monestiés et au festival des humanités une rencontre exceptionnelle, qui restera dans les annales.


Dimanche 3 septembre


9 h 30 – midi (avec prolongations dans l’après-midi). A l’Usine. Parlement des matins

Faire agora avec le réseau Autreparts – Artfactories : Maîtrises d’usage, arts de faire (ou de défaire), communs et interdépendances.


15h. Lieu à définir. La Caravane des alternatives. L'Homme qui parlait aux nuages.

Trois femmes racontent leurs aventures uniques et épiques depuis le Sénégal jusqu’en Espagne en passant par le Maroc. L’aventure théâtrale qui en découle, consiste à convoquer sous forme de récit, les temps forts du parcours à travers des figures singulières rencontrées… Celles et ceux qui œuvrent à recréer des écosystèmes perdus ou détruits ; ou encore des figures qui ont vécu l’impensable pour survivre en passant les frontières ; sans oublier celles qui font ressurgir à la lumière des êtres perdus dans les profondeurs de la nuit.

Interprétation: Céline Chemin, Fabienne Dubois, Valérie Muzetti (Photo Philippe Pinet)


18 h. Le long du Lampy, parcours ponctué de gestes artistiques.

Au départ de l’Usine (exposition de L’Art en Cenne, intervention de la plasticienne Julie Chaumette), une promenade le long du Lampy, la rivière qui a fait tourner de nombreuses usines textiles à Cenne-Monestiés du XVIIe au XXe siècle, avec des lectures en chemin, des impromptus dansés ou musicaux, guidés par les artistes en présence au festival des humanités (Véronique Albert, Jacques Bonnaffé, Jérika Brito, Isabelle Favre, Françoise Féraud, Pascale Paugam, Valérie Ruiz, Stéphane Verrue…)


21 h. Au Communal. Trésors de jazz. Seconde partie

Pour clore la première édition du festival des humanités à Cenne-Monestiés, une pluie d’étoiles avec le second volet de la collection de films de jazz de Jo Milgram, avec (entre autres), Betty Boop in I Heard (1933) de Dave Fleischer et Don Redman ; Dizzy Gillespie et Louis Armstrong (The Umbrella Man, 1959) ; Count Basie and His Orchestra (1944) ; Bill Robinson et Shirley Temple (The Littlest Rebel, 1935) ; et un extrait du légendaire Stormy Weather (1943) d’Andrew L. Stone, avec Bill Robinson, Cab Calloway et les Nicholas Brothers


(en collaboration avec le Centre national de la danse CND et Josette Milgram)


Et aussi… des artistes en présence

Il y a ce qui est programmé, et ce qui ne l’est pas. Le festival des humanités s’invente aussi avec des « artistes en présence », qui sont là pour participer, observer, et éventuellement imaginer des situations sur le vif…

De gauche à droite : Stéphane Verrue, Raymond Sarti et Jean-Marc Adolphe, Jérika Brito.


Véronique Albert, artiste chorégraphique basée à Metz. A la lisière de la danse, de la performance et de la poésie, ses projets autorisent des alchimies, des associations ponctuelles initiant différents modes de visibilité. « Dans la danse », dit-elle, « je suis à la recherche d’un corps poreux, un état de conscience, une qualité de présence. » Pour le festival des humanités, elle proposera une « fabrique fragile », un effrangement, dans un recoin de paysage, peut-être un jardin…


Jérika Brito, danseuse et chorégraphe, vient tout spécialement du Mexique pour cette première édition du festival des humanités, dont elle pourrait s’inspirer pour un projet de rencontres artistiques et communautaires prévu au Mexique en 2024.


Julie Chaumette, artiste plasticienne, a accompagné les élèves de 4ème du collège Jean Jaurès à Albi, dans la collection de portrais légendés, Un monde rêvé, qui sera « exposée » le 1er septembre. Par ailleurs, elle « investira » (discrètement) un mur extérieur de L’Usine, pour en révéler certaines fissures.


Isabelle Favre, géographe et membre du comité de rédaction des humanités. Participant à l’organisation du festival, elle interviendra lors du Parlement des matins, notamment pour parler paysages et « paysactes », sujet de la thèse qu’elle est en train de terminer.


Françoise Féraud, artiste chorégraphique, a développé une longue expérience de l’improvisation en danse, notamment dans des espaces extérieurs. Mais en tant que praticienne de yoga et de shiatsu, elle porte aussi une attention aigue aux « espaces intérieurs ».


Eric Goubet, alias Riké, a été l’un des percussionnistes des Tambours du Bronx et du groupe Metalovoice, deux formations exemplaires des années 1990 à 2010. En écho au passé industriel de Cenne-Monestiés, et dans ce qui pourrait être une sorte de rituel avant la transformation de L’Usine en tiers-lieu culturel et associatif, il devrait proposer un atelier-concert qui risque de faire quelques étincelles.


Raymond Sarti, peintre et scénographe. On ne compte plus ses nombreuses collaborations pour le théâtre, la danse, le cinéma, la musique et les arts du cirque. Ces dernières années, il a aussi développé une approche transversale de la scénographie, élargie à l’architecture et au paysage, et à une réflexion sur « les natures ». Auteur en 2000 de la scénographie de l’exposition Le Jardin planétaire aux côtés de Gilles Clément, il vient de présenter à la Quadriennale de Prague Facing the world, où il a notamment dévoilé la maquette d’un théâtre autonome et nomade pour s’installer au cœur des territoires.


Valérie Ruiz, artiste plasticienne et visuelle, aime « décliner le vivant ». Elle s’intéresse particulièrement à la transmission des savoirs à travers des « tableaux sociétaux ». Aujourd’hui installée à Ouveilhan, dans l’Aude, elle y projette un festival dédié à la performance en octobre.


Stéphane Verrue, metteur en scène et comédien, a fondé au début des années 1980 la compagnie Avec vue sur la mer, à Arras. Pour le festival des humanités, il apporte dans sa besace le Discours de la servitude volontaire, d’Étienne de la Boétie et… quelques aphorismes surréalistes.


Faire agora avec Autre(s)parts – Artfactories,

les samedi 2 et dimanche 3 septembre


Maîtrises d’usage, arts de faire (ou de défaire), communs et interdépendances


=> la question de l’habiter (cheminer en habitant, habiter en cheminant ; anthropologie sociale, architecture et aménagement)

=> la question écologique (communs négatifs, maitrise d’usage et redirection écologique : vers un art de vivre dans les ruines à l’ère de l’anthropocène)

=> la question esthétique (art de faire, art de défaire, arts du quotidien, la question de la redirection du travail artistique)

=> la question normative (droit d'usage, normes et communs)

=> hospitalités et territoires

=> les alternatives locales et globales existantes, leur importance pour la transition

=> savoir-faire et faire-savoir, d’autres « diffusions »

etc.


Plateforme de recherche et d'action, Autre(s)parts (http://autresparts.org/) réunit depuis plus de vingt ans des habitants, des artistes, des activistes, des chercheurs œuvrant en commun à la transformation des rapports entre art, territoire et société.

Centre national de ressources, Artfactories (artfactories.net) accompagne les espaces/projets porteurs de ces transformations ; documente et archive leur histoire ; collecte et transmet les savoirs et savoir-faire qui s'y élaborent. Parmi ses membres, on peut citer notamment Mixart Myrys, à Toulouse ; la friche Lamartine, à Lyon ; Pola, à Bordeaux ; La Briquetterie, à Amiens ; Mains d'Œuvres, à Saint Ouen…

Opérateur culturel, Artfactories/autresparts (Afap) travaille avec les porteurs de projets, les acteurs institutionnels, les collectivités territoriales et l’Etat à la mise en œuvre de projets culturels et d'aménagement du territoire. Afap est notamment la cheville oeuvrière de la Coordination Nationale des Lieux Intermédiaires et Indépendants (cnlii.org), une coordination de 232 lieux et 124 réseaux professionnels à l'échelle nationale.


Festival des humanités, à Cenne-Monestiés, du 31 août au 3 septembre 2023

en partenariat avec l'association L'Art en Cenne.


Pour suivre le festival des humanités sur internet : www.leshumanites-media.com


Informations pratiques


Le festival des humanités est entièrement gratuit (participation libre).

Pour venir en train : la gare la plus proche est celle de Bram, sur la ligne Toulouse-Perpignan.

(pour toute demande de covoiturage : contact@leshumanites.org).

Hébergements possibles à proximité (nécessité d'avoir une voiture) : à Castelnaudary, Carcassonne, ou au camping Le Bout du Monde, à Verdun-en-Lauragais : https://www.leboutdumonde.fr/


Les humanités, ce n'est pas pareil. Entièrement gratuit et sans publicité, édité par une association, le site des humanités entend pourtant fureter, révéler, défricher, offrir à ses lectrices et lecteurs une information buissonnière, hors des sentiers battus.

Pour encourager cette aventure, dès 1 € :













1 247 vues1 commentaire

Posts récents

Voir tout

1 comentario


Magnifique lancement d'un festival qui, je suis sûre, en appellera d'autres... Dommage de ne pouvoir y participer!

Me gusta
bottom of page